Planning des réunions 2024-2025

Planning des réunions

Les réunions de l’année scolaire 2024-2025 sont: 

09/09/2024 (Maison Des Associations Salle 3)

26/09/2024 (Salle Pocheron – Mondétour)
03/10/2024 (Assemblée Générale) (Salle Pocheron)
14/11/2024 (Maison des Associations Salle 3)
14/01/2025 (Maison des Associations Salle 3)
11/03/2025 (Maison des Associations Salle 3)
06/05/2025 (Salle Pocheron – Mondétour)
05/06/2025 (Salle Pocheron – Mondétour)

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Les Associations de Parents d’Élèves à Orsay : Comment choisir une association de parents d’élèves

Orsay, ville réputée pour son dynamisme éducatif, abrite plusieurs associations de parents d’élèves engagées, chacune portant des valeurs et des objectifs spécifiques. Ces associations jouent un rôle crucial dans le dialogue entre les familles et les institutions scolaires, représentant les intérêts et les préoccupations des parents. Cet article met en lumière les particularités et les valeurs de quatre associations notables à Orsay-centre: la FCPE et la PEEP, de portée nationale, la CAPE 91 au niveau départemental, et la GIPEF, ancrée localement.

FCPE – Fédération des Conseils de Parents d’Élèves

La FCPE, présente à Orsay comme dans toute la France, est la plus grande fédération de parents d’élèves. Elle se distingue par son engagement en faveur d’une école publique laïque, gratuite, et de qualité, accessible à tous les enfants. La FCPE milite pour une éducation qui favorise l’épanouissement et la réussite de chaque élève, en mettant l’accent sur l’équité et la justice sociale. L’association est également reconnue pour son action militante, n’hésitant pas à prendre position sur des débats éducatifs majeurs et à se mobiliser pour défendre ses valeurs.

Au centre d’Orsay la FCPE est présente historiquement sur le groupe scolaire du centre.

PEEP – Fédération des Parents d’Élèves de l’Enseignement Public

La PEEP, autre grande fédération de parents d’élèves, se distingue par sa démarche constructive et son approche pragmatique des questions éducatives. Orientée vers la défense des intérêts des élèves et le partenariat avec les enseignants, vise à améliorer constamment les conditions d’apprentissage et le bien-être des enfants. Elle propose des services et des conseils aux parents, tout en favorisant le dialogue et la coopération avec les établissements scolaires.

la PEEP à Orsay après une absence de plusieurs années des établissements d’Orsay centre essaie de se réimplanter afin de servir les intérêts de quelques parents souhaitant s’investir pour leurs seuls enfants tout en partageant le travail de la collectivité nationale des parents peep. 

CAPE 91 – Coordination des Associations de Parents d’Élèves de l’Essonne

Spécifique au département de l’Essonne, la CAPE 91 regroupe plusieurs associations locales, dont certaines sont présentes à Orsay. Cette coordination départementale se concentre sur les enjeux éducatifs à l’échelle locale, offrant un soutien et une représentation aux associations membres. La CAPE 91 se mobilise pour une école inclusive et démocratique, mettant l’accent sur la participation active des parents dans la vie scolaire et sur l’importance de l’environnement éducatif au niveau local.

Présente depuis sa fondation au collège Alexandre Fleming, elle est également présente au lycée Blaise Pascal.

GIPEF – Groupement Indépendant de Parents d’Élèves

Le GIPEF d’Orsay incarne l’engagement au niveau local, avec une approche centrée sur les spécificités de la communauté éducative orcéenne. Cette association locale se démarque par sa flexibilité et sa proximité avec les parents, offrant un cadre plus intime pour l’échange et l’action. Le GIPEF s’investit dans le soutien rapide, pertinent et efficace des parents qui en font la demande et dans des projets concrets visant à améliorer le quotidien des élèves et à renforcer le lien entre les familles et les écoles d’Orsay. :  ourse aux vélos, bourse aux livres,….

Présent depuis 25 ans sur Orsay. Le GIPEF aide les parents sur le collège Fleming, le lycée Blaise Pascal ainsi que sur le groupe scolaire du centre.

Comment choisir l’association de parents qui vous représentera?

En conclusion, bien que ces quatre associations partagent un objectif commun – la défense et la promotion des intérêts des élèves et de leurs familles –, elles présentent des approches et des priorités variées, reflétant la diversité des attentes et des besoins des parents d’élèves à Orsay. Leur coexistence et leur dynamisme témoignent de la vitalité de la participation parentale dans le système éducatif local. C’est à vous, parents, en fonction de vos besoins, de vos préférences, de vos priorités de faire le choix. Lors des élection annuelles en Octobre de chaque année des professions de foi vous parviennent mais n’hésitez pas non plus à anticiper en appelant ou rencontrant les différents acteurs dès la rentrée, lors de réunions, lors du forum des associations ou simplement par email ou via les réseaux sociaux ou les communautés whatsapp.

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Effectifs de rentrée – 2019-2020

Effectifs de rentrée – 2019-2020

 

Déjà un sujet pour la maternelle

Déjà également un sujet pour le collège puisqu’il a été annoncé par la direction Académique lors de la réunion du 10 septembre 2018 avec les représentants des enseignants, que les 6eme seraient à nouveau à 30 par classe l’année prochaine. On approchera rapidement des 680 élèves maximum de capacité de l’établissement…

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Frelons Asiatiques

Des frelons asiatiques sont vus régulièrement dans Orsay. Des nids ont été détruits. Nous avons même été informé de la présence de frelons asiatiques sur les ruches du lycée Blaise Pascal et au fond de la cour du collège. Si vous en entendez parler par vos enfants, s’ils aperçoivent un nid, merci de nous tenir au courant, pour que nous puissions remonter l’information et faire disparaître ces indésirables.

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Défendre l’enseignement des sciences / Reforme bac 2021

Notre attention vient d’être attiré par la communication suivante. N’hésitez pas à commenter ou à nous contacter pour en discuter. N’hésitez pas signer la pétition si vous le juger nécessaire.

 

Chères et chers collègues,

Nous vous invitons à signer et à relayer très largement autour de vous la pétition mise en ligne par l’association pour infléchir le projet ministériel de Baccalauréat 2021.

En l’état actuel, ce projet fait une part trop réduite aux sciences, quasi inexistantes dans le « socle de culture commune » et qui sont limitées à deux disciplines maximum en terminale pour les élèves désirant suivre un parcours scientifique.

Ainsi, si rien ne change, et pour ne parler que des parcours scientifiques, tout élève qui choisira Maths+Info, Maths+SI, Maths+SVT, n’aura plus aucune heure de physique-chimie identifiée comme telle en terminale !

Quant au lycée technologique, c’est le grand absent de ce projet de Bac 2021. Les intitulés de certaines épreuves de baccalauréat des séries technologiques laissent entrevoir une redistribution des enseignements dans ces séries. A titre d’exemple, seule la chimie est mentionnée au baccalauréat en série ST2S. Quid de la physique ?

 

Il y va de l’avenir de notre discipline et de nos postes !

Signez et faites signer cette pétition en la diffusant largement !

https://www.change.org/p/m-jean-michel-blanquer-la-r%C3%A9forme-du-bac-2021-et-du-lyc%C3%A9e-ne-doit-pas-sacrifier-les-sciences

 

Pour en savoir plus :

1. Rendez-vous sur le site de l’UdPPC dans l’onglet consacré à la réforme du Bac 2021, où figurent tous les textes et analyses de cette réforme :

http://national.udppc.asso.fr/index.php/espace-lycee-sp-1444794504/reforme-baccalaureat-2021

2. Un résumé de la situation ayant conduit à déposer cette pétition

 

Le 14 février dernier, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a présenté au Conseil des ministres et à la presse ses arbitrages sur la réforme du baccalauréat[1]. Cette réforme du baccalauréat sera accompagnée d’une réforme du lycée général et technologique dont la presse a essentiellement retenu la disparition des filières L, ES et S du lycée général.

Là où le Ministre s’écarte le plus des propositions du rapport que lui avait remis le 24 janvier 2018 la commission présidée par Pierre Mathiot, c’est dans les modalités de spécialisation au cycle terminal (première et terminale). En effet, là où Pierre Mathiot envisageait un choix de deux disciplines majeures accompagnées de mineures, Jean-Michel Blanquer fait disparaître les mineures et propose, à côté d’un tronc commun, de choisir trois spécialités en première, réduites à deux en terminale.

L’UdPPC a réagi[2] dès la publication des ces arbitrages car elle y voit deux inconvénients majeurs concernant l’enseignement scientifique :

–          Le tronc commun est trusté par les disciplines relevant des lettres et des humanités – avec parfois des horaires fortement renforcés – et ne comporte qu’un enseignement à l’intitulé vague de « Humanités scientifiques et numériques » (HSN). Ainsi, au lendemain de la publication du rapport Villani-Torossian censé trouver des solutions pour améliorer l’enseignement des mathématiques, on acte la disparition des mathématiques et des sciences expérimentales en tant que telles dès la fin de la seconde, pour tous les élèves qui s’orienteront vers des parcours à dominantes lettres et sciences humaines.

–          Les élèves choisissant des parcours scientifiques subissent une double peine : ils doivent garder toutes les disciplines du tronc commun mais ils sont condamnés à appauvrir leur palette d’enseignements scientifiques en terminale, ne pouvant garder que deux disciplines de spécialité – ce qui peut limiter leur choix au moment de prononcer leurs vœux pour leur poursuite d’études. Le ministère a bien compris que cela pouvait être très problématique, puisqu’il a créé un enseignement facultatif de « mathématiques complémentaires » en terminale, au prix d’un alourdissement de l’horaire de l’élève.

Malgré diverses rencontres, le ministère est resté dans le déni, promettant à tous ses interlocuteurs une place dans l’enseignement « humanités scientifiques et numériques » et insistant sur les horaires renforcés dans les enseignements de spécialité (4 heures en première et 6 heures en terminale).

Les tableaux réalisés par l’UdPPC[3] montrent pourtant le nécessaire renoncement à opérer dans certains parcours. Ainsi, un élève qui choisirait les mathématiques et l’informatique comme disciplines de spécialité de terminale devrait par exemple arrêter les SVT en fin de seconde et la physique-chimie en fin de première !

Treize associations actrices de la communauté scientifique et éducative ont alors envoyé au Ministre une lettre ouverte réclamant une évolution de son projet sur ces points[4].

Seule concession lors de la présentation des projets de décrets et d’arrêtés au Conseil supérieur de l’Éducation (CSE), le changement de nom de « humanités scientifiques et numériques » par « enseignements numériques et scientifiques ».

L’UdPPC a donc décidé de reprendre sous forme d’une pétition le contenu de la lettre co-signée par les treize associations. Y a été ajoutée la demande de la communication par le ministère des détails sur les horaires disciplinaires dans différentes séries technologiques. En effet, la structure du lycée technologique a été très sommairement décrite dans le dossier de presse diffusé par le ministère, sans aucun détail sur les horaires des enseignements constituant les différentes séries.

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